PUBLICATIONS

;

Bonnafous Nicolas
Nicolas Bonnafous

Découvrir l’auteur sur Babelio.com 324 citations Note moyenne 4.85 / 5

Né en 1974 Nicolas Bonnafous est un artiste français qui vit et travaille à Valderiès dans le Tarn au cœur de l’Occitanie.

À travers peintures, sculptures, monuments pour place publique, écritures, il affine ses recherches artistiques sur la force de la nature, ses confrontations et son unité.

La mémoire collective, l’architecture et la trace des Hommes sont au cœur de son travail.

Traduisant par des mouvements de grandes vagues destructrices, à l’eau épousant une nouvelle forme en gestation, internes aussi à l’humanité, bâtissant et effaçant par strates le paysage de l’individu, de la société et des civilisations.

Ses travaux sont présents dans de nombreuses collections privées en France et à l’étranger……

Tout les livres disponibles directement au prés de l’auteur, accès ci-dessous avec le lien, n’hésitez pas à demander votre dédicace.

https://bonnafous-nicolas-artiste.sumupstore.com/

 

.https://www.babelio.com/auteur/Nicolas-Bonnafous/582033https://www.babelio.com/auteur/Nicolas-Bonnafous/582033

Découvrez le livre “Solitudes Verticales”

Écris entre les lignes, entre les caractères gras, écris ce que tu veux mais écris, dans la marge, sur la table, entre le sol et les drapeaux, écris sans majuscule, oublie les virgules, les points et les dictionnaires, espace les rencontres pour en préserver la beauté, fuis les cadences, les faux rythmes et vois les flammes qui grignotent le jour, regarde droit avec force le soleil qui s’efface, ce jour est ta vie entière.

 

Découvrez le livre “des racines au ciel”

Un après-midi d’été au bord de la rivière du Tarn, j’observais de grands saules pleureurs, deux précisément, espacés de cinq à six mètres. Le vent les balançait de gauche à droite en rythme lent et coordonnait une vraie respiration, seule l’extrémité de leurs branches entrait en contact. L’eau coulait lentement à leurs racines ; dans les nuées d’insectes, en fin d’après-midi, le soleil rouge tombait. Emporté par cette beauté, les yeux fermés venait un saule puis l’autre sans lever le crayon, plusieurs allers-retours s’entrecroisant et puis l’herbe et le vent et là je dessinai tout, le dialogue qui flottait devant moi et en moi portant le mouvement de la vie comme souffle le vent dans l’instrument du monde.


 

Découvrez le “Je n’ai pas vu venir la nuit”

Certains grands sages pensent que nous avons dès la naissance un nombre défini de respirations, un réservoir économe ou brûlé en une nuit…

 
 

.

Découvrez le livre “De l’aurore qui vient je me souviens déjà”

J’avais l’impression que son corps poussait
le monde ou plutôt que ses seins lourds poussaient le monde, de ses hanches puissantes et larges ouvertes sur des pieds ouverts à 10 h 10, une déesse du croissant fertile, triangle ouvert du ciel pointant la terre allaitant l’origine du monde…


Découvrez Le Roman “Le passeur de rivages”

Saurez-vous saisir dans cette course au cœur battant, un instant de lecture ou de toute une vie le passeur de rivages…

Que reste-t-il des hommes quand le monde que vous connaissez a disparu ? En quelques secondes, tout avait été liquéfié. Aussi soudainement que l’eau était apparue, elle retourna s’infiltrer au tréfonds de la terre absorbant l’eau d’un bain tel un siphon, le monde connu n’existait plus, ils avaient été effacés. Plus aucune trace n’apparaissait, aucune empreinte de ce banquet, des jardins de ces gens, de ce lieu de la Belle Époque. Je regardai au loin et tout autour. Tout était calme et le vent faiblissait peu à peu, ralentissant le lieu. Mais tout paraissait au fond quelque peu différent…

Une épopée profondément humaine et initiatique sur l’adaptation au cœur de la nature. Comment survivre à la perte et l’effacement ? Comment la perte dans son processus de reconquête devient noblesse ; et quand la rencontre de l’autre devient un nouveau rivage à la découverte de son propre passeur.


Découvrez “Le chant des oiseaux je deviens”

J’ai posé des poèmes au bord du monde

De simples mots faits de leurs racines oubliées

Ceux que je souffle par ma main

poussée au vent du monde le cœur pur

Des poèmes déposés au bord du monde

qui tissent des hommes…

 

 

Découvrez ” la cordée de ses propres mythes “